Description
« C’est simple, c’est utile et c’est pas mal bon. »
– Le Pharmachien
Le chocolat noir est-il un aliment miracle ? Les superaliments existent-ils ? Faut-il courir des marathons pour être en forme ? Les saucissons menacent-ils votre existence ? Les vaccins affaiblissent-ils votre système immunitaire ? Le dépistage des cancers allonge-t-il votre vie ? La médecine peut-elle vous aider à vous remettre d’une cuite ? Peut-on faire confiance aux études médicales ? Comprenez-vous toujours les explications de votre docteur ? Faut-il acheter la détox du docteur Vadeboncoeur ? Tant de questions !
Nous voulons tous vivre longtemps et en santé. Chaque jour, des experts, réels ou autoproclamés, nous prescrivent une nouvelle recette pour y parvenir. Mais comment les croire alors que leurs recommandations ne cessent de changer ? Surtout quand ces conseils s’appuient sur des études incompréhensibles pour la plupart d’entre nous, quand elles ne reposent pas sur du vent. Pourtant, la santé est l’affaire de tous et chacun devrait pouvoir faire des choix éclairés en ce domaine. C’est dans ce but que le docteur Vadeboncoeur a écrit ce livre.
Dans un style clair et humoristique, Alain Vadeboncoeur nous raconte l’histoire de la médecine et nous explique les fondements de sa rigueur scientifique, tout en montrant ses limites. Il nous offre ainsi des clés pour mieux comprendre les études qui nous dictent comment vivre, tout en élucidant les questions médicales qui nous tourmentent. Il nous enjoint avant tout à penser par soi-même, une tâche cruciale pour quiconque souhaite (sur)vivre en santé.
Erratum
Veuillez noter que les erreurs suivantes se sont glissées dans le livre, à l’insu de l’auteur:
- p. 20: «[…] les dissections étant interdites depuis le règne de Marc-Aurèle, premier empereur chrétien de Rome au IIe siècle […]». Marc-Aurèle n’était pas chrétien, il était plutôt stoïcien.
- p. 105: «Heureusement, le taux de tabagisme qui frisait chez nous un catastrophique 5% en 1960 […].» Il s’agit plutôt d’un taux de 50%.
- p. 145: «Ces gros chiffres – ±350 % pour la pilule ou +40% pour les cellulaires […].» Il faudrait lire plutôt +350%.
- p. 162: «Quant à l’ampleur de cette baisse de mortalité liée au cancer du sein, elle est de 8 décès en moins sur 10 ans pour 1 000 femmes entre 50 et 59 ans […].» Il s’agit plutôt de 8 décès en moins sur 10 ans pour 10 000 femmes.