Description
Ce livre raconte comment, dans les années 1990, la communauté des affaires a fini par acquérir cette légitimité tant convoitée en persuadant le reste du monde que la voie du laissez-faire n’était pas seulement la meilleure et la seule possible mais également la plus soucieuse de répondre à la volonté et aux intérêts populaires. Il montre comment « détruire l’ancien monde » pour en édifier un nouveau, plus sûr, à l’usage des milliardaires fut une entreprise à la fois politique, culturelle et économique.