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Photo de trois couvertures de livres: «La juste part» de David Robichaud et Patrick Tumel, «À boutte» de Véronique grenier et «La société de provocation» de Dahlia Namian.
4 mai 2023

Quelques essais pour réfléchir l’après-capitalisme

Je sais pas si vous avez vu les nouvelles passer dans la dernière décennie, mais semblerait que la planète brûle, que rien ne va plus et que nos jours sont comptés (je paraphrase, mais t’sais, c’est l’idée générale).

Bien que les causes de cette apocalypse annoncée soient multiples (** tousse-tousse ** CAPITALISME ** tousse-tousse **), on commence à trouver un dénominateur commun à beaucoup de ces problèmes qui tuent la planète (** tousse plus fort ** LE CAPITALISME BÂTARD ** tousse à nouveau **).

Divulgâcheur : tout pointe vers notre système économique défaillant, ce bon vieux CAPITALISME! Eh oui, qui aurait cru qu’une idéologie basée sur le principe de l’expansion infinie alors qu’elle évolue sur une planète aux ressources non seulement limitées, mais de plus en plus rares, atteindrait un jour son point de rupture? QUI?!

Bref, malgré tous les efforts que font les riches pour que l’on garde foi en cette utopie, le masque du capitalisme craque de plus en plus. Et ce désenchantement est nourri entre autres par des intellectuel.le.s qui réfléchissent le capitalisme, ses impacts, et surtout qui proposent des solutions alternatives à cette gangrène qui nous pourrit la planète. Car oui, tout n’est pas perdu la gang, mais il faut s’activer vite, par contre.

Alors si vous voulez vous aussi commencer le démantèlement du système et que vous cherchez des arguments pour embarquer d’autres personnes dans le projet, voici quelques essais qui pourront nourrir vos discussions et réflexions à ce sujet.

[…]

La société de provocation : Essai sur l’obscénité des riches — Dahlia Namian

Un peu dans la même lignée de « coudonc, c’est quoi l’*sti de problème avec les riches », Dahlia Namia explore dans son essai cette tendance qu’ils ont d’exhiber sans complexe leurs richesses comme une sorte de provocation, un pied de nez au reste du monde. S’il n’y a rien de nouveau dans cette opulence déplacée, il semblerait par contre que maintenant, plus personne ne leur réplique. Comme si les riches n’avaient désormais plus d’adversaires, mais plutôt des admirateurs.

On parlerait même d’une glorification de cette richesse, en anglais d’un « wealth porn », que ce soit dans nos séries télé ou nos films. Comment en sommes-nous arrivés à déifier des gens qui sont à des années-lumière de notre réalité? Et surtout : comment pourrons-nous les arrêter dans cette dilapidation de nos richesses collectives, s’il n’est pas déjà trop tard?

[…]

Victor C., Urbania, 4 mai 2023.

Lisez l’article complet ici.

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