Description
« Je n’ai plus que quelques heures à vivre, mais j’ai voulu partager ce temps précieux entre mes devoirs religieux et ceux à mes compatriotes. Pour eux, je meurs sur le gibet de la mort infâme du meurtrier, pour eux je me sépare de mes jeunes enfants, de mon épouse, sans autre appui que mon industrie et pour eux je meurs en m’écriant : Vive la Liberté, Vive l’Indépendance ! »
Ces lettres constituent en elles-mêmes un véritable monument d’humanité. Elles ont inspiré 15 février 1839, le film retentissant de Pierre Falardeau.